Ha... te voilà.
Ce soir, j'ai mal à la tête. Un peu. J'ai chaud, un peu. En fait, je suis un peu! Tu ne me comprends pas? Moi non plus. Putain. J'aime écrire. C'est une drogue. Comme si j'étais incapable de m'en passer. Mais tu sais, y'a toujours un moment où le robinet ne coule plus, pour un temps. Ben voilà, je suis là, devant l'ordi... (je vais m'allumer une cloppe... ça va peut-être m'allumer!)... Je disais... Je suis là, devant l'ordi, la tête pleine d'idées, et ce billet est le cinquième d'une série de cours textes qui avaient tous ni queue ni tête.
Je m'excuse, toi le lecteur, qui était peut-être venu cliquer par ici pour te distraire un peu ou passer un bon 5 minutes en cette journée pour la paix. Peut-être aurais-tu voulu que je te parle de mon passé, d'une anecdote de travail... Peut-être aurais-tu voulu que je parle de politique ou que je publie une photo, un quelconque quelque chose pour te sustenter ou même, de sexe. Mais tu te retrouves avec moi sur les yeux. Et ce n'est pas jolie. Et puis, que veux-tu, mes idées sont dans le brouillard. Comment être en pleine possession de ses idées lorsque ce qui les contient te serre, te serre, te serre...
Je te promets que la prochaine fois, ce sera mieux. Ne m'en veux pas.
5 commentaires:
T'es bon même quand tu te trouves poche!
Bonne soirée! Et bonne inspiration!
Ben toi, t'es ben gentille! Sur ce, je vais me coucher et rendre le lendemain accessible...
Je te pardonne! Hé hé!
Je suis de l'avis de virge.
à plus
xxx
Je m'incline devant la grandeur de vos âmes virtuelles!
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