jeudi 22 janvier 2009

#3

J'ai trouvé dans le cosmos de ma cervelle la sensation immortelle de ma main touchant ta peau. Sans attendre, prenant les secondes en les consommant de toi, j'accélère le pas sur le chemin de ton iris. Car après tout, la route est longue lorsqu'on se retrouve dans les ficelles de ta vision. On sent l'infini plus près, vivace dans le creux de ton regard vert. Je chasse la lumière, en quelque sorte, qui me sépare de toi pendant l'après-midi...

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