jeudi 8 janvier 2009

#2

La nuit de janvier est toujours longue. Y'a toujours un moment pour se pogner le beigne, on dirait. Quand t'es là, c'est trop vite. Le temps, j'veux dire. J'ai l'impression que la grande aiguille a le feu au cul. Je le réalise uniquement quand t'es pas là, c'est con hein!? Mais quand t'es pas là, notre jardin est vide et les plantes n'oxygènent personne. Rien ne fleuri en ton absence. Ton pouce est vert et tu ne le sais même pas. Je ne t'écris pas assez souvent...

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