dimanche 28 décembre 2008

Et si je dormais une semaine complète!

Honnêtement, je cherche encore les mots pour raconter les dernières bêtises que 2008 m'a envoyé. J'essaie de ne pas y penser, de laisser à mon imagination le soin de bien rêver pour la nouvelle année qui s'annonce.
D'abord, qui a parlé de «congé des fêtes»? Est-ce un virus, une maladie sournoise qui adopte notre corps chaque lundi pécédent la fête de Nouel? Ou est-ce une sorte de mascotte qui, au même titre que Papa Nouel, vient faire son tour afin d'égayer la galerie? Personnellement, je ne sens pas de repos dans ma cabane corporelle. Je m'apprête littéralement à avoir une semaine de mon-go-le...
Les célébrations dans mon royaume se sont pourtant bien déroulées. Le petit Olivier a été gâté, la petite Amélia était adorable, ma mère a fait sa tourtière (écoeurante!P) et ma tante Francine a bu du Porto. Mais c'est lorsqu'est venu le temps de partir que tout s'est mis à aller tout croche! D'abord, notre chère Annette, La Voiture Argentée, s'est mise à toussoter et à nous dire «check l'engine» alors que nous venions, moi et ma Bibitte, de quitter le cocon familial afin de nous rediriger vers notre Vire-Sud adorée... Deux heures de retard sur l'itinéraire pour poser comme diagnostique: le gaz a gelé! Mon père, dans toute sa bonté légendaire, nous a suivis de Chicoutimi à Longueuil, au cas où Annette s'avèrerait plus malade que nos estimations. Bilan de ce dernier 500 km... Rien. Elle a roulé comme un charme.
Le lendemain, mon père reprend la route en sens inverse afin de regagner sa terre natale du bleuet et du «cuter» (prononcé quotteur). À Drummondville, un de ses pneus éclate.
Le surlendemain, hier donc, je m'adonne tout bonnement à visionner les habs lorsque j'entends une goûte... et une autre... et encore... et encore... et ENCORE! Je me lève, l'oreille telle celle du renard pour me rendre compte que mon toit fuit, lentement, doucement, une goûte au 5 secondes. Je mets un sceau. Quelques minutes plus tard, c'est une goutte à la seconde et un autre endroit se met à dégoutter. Je vcais voir le proprio en bas. Je remonte... C'est le déluge. Cinq sceau jonche mon plancher. Nous perçons un trou à l'aide de ma drill... Ça ne dégoutte plus, ça pisse littéralement.
Aujourd'hui, le toit est réparé. Annette a fermé le «Check Engine».
J'attends les autres épreuves...

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Hahaha!!! Pas facile les pseudo-vacances de Noël pour notre oiseau américoin-coin!!! Pour moi les vacances de Noël de cet année sont comme les vacances du temps de la petite école, même si elles ont faillies être interrompues à cause d'une certaine Voiture Argentée... Par chance, le père du moineau à le coeur gros! J'espère que le reste de ton Temps des Fêtes se passera mieux! N'oublie, au JC on vend des parapluie-de-trous-de-toiture!
Bonne soirée!
The Manager