Le soir...
Pauvre et jaune dans le gris de l'hiver au doux doigté qui s'étire vers moi, me fait sentir frais,
Indistint
Dans les jours de novembre.
C'est comme ça. Y'a rien à comprendre.
Je n'y peux rien, je suis humain ça c'est certain.
Mais dans le soupir de mon respire qui s'attire vers toi.
S'échappe ou m'attrape, je ne sais plus vraiment
Un sourire et un mirage rare et rouge...
Y'a ton nez qui va se pointer
Là dans l'embrassure de la porte.
Je te regarderai mettre ton pyjama
En murmurant sur les flocons du froid
Inconscient du parfum floral
D'un printemps d'automne.
Et encore...

2 commentaires:
J'aime tes épices, c'est très joli
Merci Thessa.
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